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« Cuivre et soufre sont seulement notre dernier recours »

Publié le 29/01/2019 | par Christophe Reibel

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Florian et Mathilde Beck-Hartweg utilisent cinq végétaux qu’ils cueillent dans leurs vignes avant de les pulvériser sous forme de purin ou de tisane.
Germain Schmitt

Pour Mathilde et Florian Beck-Hartweg, n’importe quelle vigne ne se prête pas à une stratégie de protection à dose réduite ou nulle de cuivre et de soufre. « Il faut l’y préparer très en amont » disent-ils. « La santé d’une plante ne passe pas par des traitements qui ne sont qu’une roue de secours. C’est l’ensemble des conditions dans lesquelles le vigneron met sa vigne ainsi que son environnement qui déterminent son comportement ». Leur approche est donc globale. Elle débute dès la mise en place de la vigne. Ils laissent pousser les couverts indigènes sur 80 % de la surface.

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